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par Sandra Fedida 05 avr., 2024

C’est la grande question que se pose les élèves mais aussi beaucoup les parents ; et c’est récurrent chez mes clients quelque soit leur classe.

Je manque de motivation, j’ai du mal à m’y mettre,flemme !  Il traine, il n’est pas motivé...

 Pourtant, il suffit parfois de mettre de la réflexion pour enclencher cette fameuse motivation. On n’attend pas d’être motivé pour se mettre en action  ; c’est le piège. On a un objectif (contrôle dans quelques jours, examen, galop d’essai …) généralement avec une date d’échéance. On se met en action pour produire de la motivation .

En effet, grande partisane des « petits pas », je suggère toujours de commencer par ce qu’il y a à faire, connaître, maitriser …. Et on écrit toutes ces actions à mettre en place pour réussir son contrôle ou examen (leçon, exercices…).

La motivation n’est pas quelque chose qui se décide mais quelque chose qui se produit : le cerveau a besoin de savoir où il va et pourquoi. Or d’après les dernières études notamment en neurosciences, on constate que c’est dans le processus d’apprentissage que l’on produit de la motivation .  

Encouragez vos enfants à s’y mettre sans calculer le temps, mais en discutant de ce qu’il faudrait faire dans l’idéal et laissez l’élève choisir le rythme. En instaurant une routine de travail personnel, en soutenant l’effort au quotidien en vue d’un objectif,   la motivation sera croissante et ne sera bientôt plus une question.

par Sandra Fedida 16 mai, 2022
Cette interview a été réalisée le jour des premières épreuves du Bac 2022 (Option) dans laquelle j'explique l'importance de la préparation du grand oral aussi bien sur le plan personnel (confiance en soi, motivation, estime de soi) que sur le plan d'évolution scolaire (choix des études post Bac, choix du cursus et choix de la branche professionnelle) avec les arguments percutants.
par Sandra Fedida 17 avr., 2019

Tout simplement parce que ce sont des injonctions et que le cerveau adolescent le comprend comme une contrainte. Et personne n’aime les contraintes !

Si vous voulez obtenir de votre enfant une plus grande implication dans son travail personnel, invitez le à vous parler de son intention vis-à-vis des devoirs par exemple et demandez lui quelle intention il va mettre pour réviser un contrôle et proposez lui de l’écrire sur un post-it.  

Vous serez étonné de constater comment un changement de vocabulaire peut entrainer un véritable changement d’attitude.

par Sandra Fedida 15 avr., 2019
Émission "le journal des mamans" animée par Vanessa Sitbon dans laquelle j'ai expliqué mon approche du coaching scolaire et comment le coaching parental permet d'optimiser la relation au travail personnel des ados et leurs résultats.
par Sandra Fedida 27 nov., 2018

En effet, certains parents peuvent en toute bonne foi considérer que leur enfant est paresseux (se) car il ne travaille pas, traine sur son téléphone, regarde des émissions débiles, fait tout au dernier moment et dont les notes sont médiocres.

Je pense qu’il y a deux catégories d’élèves : les élèves qui procrastinent, qui ont besoin d’être dans un certain état de stress avant contrôle pour s’y mettre et généralement leurs notes sont correctes ; cette attitude faisant partie de leur nature ; et il y a ceux, conscients de leurs lacunes et de la quantité de travail à fournir pour se mettre à niveau qui baissent les bras avant même de s’y mettre. Ces élèves ont déjà un discours interne négatif. Alors, petit conseil n’en rajoutez pas, cessez de  leur répéter qu’ils sont paresseux mais encouragez les suffisamment pour qu’ils amorcent le premier pas.

Aucune montagne n’est infranchissable, il faut juste choisir le bon chemin pour y grimper sans se décourager.

par Sandra Fedida 31 oct., 2018

En principe, peu d’enfants font leurs devoirs spontanément ; aussi, prenez le temps d’établir un programme avec votre enfant de ce qu’il a à faire. Comme il y aura participé, il le fera volontiers puisque vous le rendez acteur de son apprentissage.  

Bien entendu, ne changez pas de programme et n’ajoutez pas de devoirs !

par Sandra Fedida 30 août, 2018
En effet, ce travail assez mécanique n’empêche pas d’avoir les yeux qui se posent sur les documents de façon aléatoire.
Et voilà-t-y pas que mon sang ne fait qu’un tour : que vois-je dans une lettre adressée par un grand Hopital de Marseille : une énorme faute d’orthographe.
Énorme à mes yeux car elle est significative de la déliquescence du niveau orthographique d’aujourd’hui.
Mais je me rends compte que j’ai oublié de vous parler de la “faute” : elle concerne une adresse qui a pour nom de rue un grand auteur de la littérature française, étudié au moins une fois durant le primaire (soit 5 ans!) : Alphonse Daudet. Cela ne vous choque-t-il pas de voir Alphonse écrit Alfonse?
Eh bien moi oui !
Bien entendu, j’entends certains me rétorquer qu’une “faute” d’orthographe sur un nom propre ou un prénom n’est pas vraiment une faute.
De même on me dira que la secrétaire médicale (qui doit donc se prévaloir d’un certain niveau d’orthographe), est jeune, que les noms propres ne sont pas son fort et que le correcteur informatique ne corrige pas ce type d’erreur.
Permettez-moi de ne pas être d’accord avec les personnes qui acceptent de plus en plus les erreurs orthographiques, et de leur expliquer qu’être plus conciliant avec les fautes d’orthographe implique que l’on accepte de facto que les niveaux de connaissance et de culture générale baissent.
Il n’y a qu’à se référer au classement international et voir le niveau de la France!
La langue française est magnifique, certes avec une grammaire complexe, mais il ne faut pas baisser les bras; et comme je le serine depuis de nombreuses années, les lacunes en orthographe ne sont pas irréversibles.
Il suffit juste d’un coup de pouce pour retrouver les automatismes et d’une dose de volonté pour se réapproprier la belle langue de Molière.

par Sandra Fedida 30 août, 2018
Ce petit récit sous forme de conte est très instructif et donne des informations sur la manière de s’adapter aux changements qui surviennent dans la vie que ce soit au travail, en famille ou même en amour.

Je retiendrais 7 points essentiels :
  1. Le changement est inévitable
  2. Prépare-toi au changement
  3. Anticipe le changement
  4. Adapte-toi rapidement
  5. Change
  6. Profite du changement
  7. Sois toujours prêt à repartir pour profiter pleinement de la vie
par Sandra Fedida 30 août, 2018
Le Bac de son enfant renvoie à une multitude de sentiments : son adolescent grandit, c’est la fin d’un cycle et l’entrée à l’université, c’est également le moment où notre enfant devient un jeune adulte alors qu’il est encore son bébé, le temps passe si vite!
Voici quelques conseils pour vous aider à passer ce cap :
  1. Veillez à ne pas le “harceler” avec la sempiternelle injonction “travaille”. Il le sait, peut-être n’est-ce pas suffisant à vos yeux, mais vous allez plus l’angoisser qu’autre chose.
  2. C’est le moment de vous occuper de sa nutrition et limiter sa consommation de produits industriels : misez sur les fruits frais pour la vitamine C, prévoyez un goûter avec fruits secs et chocolat pour favoriser une meilleure mémorisation, cuisinez des féculents le soir. Proposez lui des vitamines, çà ne peut faire que du bien avec un effet placebo garanti.
  3. Expliquez lui que pour bien mémoriser il faut bien dormir et dans l’idéal vers 23 heures, afin que le cerveau optimise le travail de tri des informations.
  4. Ne vous énervez pas si vous le voyez “buller” devant la télé ou sur son téléphone. Il fait simplement une pause, ce qui est indispensable pour réviser des matières différentes. Pas plus de 30 à 45 minutes bien entendu.
  5. Montrez-lui que vous lui faites confiance ; soyez présents sans être encombrants ; racontez-lui des anecdotes sur votre propre bac , c’est une bonne façon de relativiser l’importance de cet examen.
Et si malgré tout cette période est un peu difficile à vivre pour vous parents, n’hésitez pas à me contacter !
par Sandra Fedida 23 août, 2018
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par Sandra Fedida 05 avr., 2024

C’est la grande question que se pose les élèves mais aussi beaucoup les parents ; et c’est récurrent chez mes clients quelque soit leur classe.

Je manque de motivation, j’ai du mal à m’y mettre,flemme !  Il traine, il n’est pas motivé...

 Pourtant, il suffit parfois de mettre de la réflexion pour enclencher cette fameuse motivation. On n’attend pas d’être motivé pour se mettre en action  ; c’est le piège. On a un objectif (contrôle dans quelques jours, examen, galop d’essai …) généralement avec une date d’échéance. On se met en action pour produire de la motivation .

En effet, grande partisane des « petits pas », je suggère toujours de commencer par ce qu’il y a à faire, connaître, maitriser …. Et on écrit toutes ces actions à mettre en place pour réussir son contrôle ou examen (leçon, exercices…).

La motivation n’est pas quelque chose qui se décide mais quelque chose qui se produit : le cerveau a besoin de savoir où il va et pourquoi. Or d’après les dernières études notamment en neurosciences, on constate que c’est dans le processus d’apprentissage que l’on produit de la motivation .  

Encouragez vos enfants à s’y mettre sans calculer le temps, mais en discutant de ce qu’il faudrait faire dans l’idéal et laissez l’élève choisir le rythme. En instaurant une routine de travail personnel, en soutenant l’effort au quotidien en vue d’un objectif,   la motivation sera croissante et ne sera bientôt plus une question.

par Sandra Fedida 16 mai, 2022
Cette interview a été réalisée le jour des premières épreuves du Bac 2022 (Option) dans laquelle j'explique l'importance de la préparation du grand oral aussi bien sur le plan personnel (confiance en soi, motivation, estime de soi) que sur le plan d'évolution scolaire (choix des études post Bac, choix du cursus et choix de la branche professionnelle) avec les arguments percutants.
par Sandra Fedida 17 avr., 2019

Tout simplement parce que ce sont des injonctions et que le cerveau adolescent le comprend comme une contrainte. Et personne n’aime les contraintes !

Si vous voulez obtenir de votre enfant une plus grande implication dans son travail personnel, invitez le à vous parler de son intention vis-à-vis des devoirs par exemple et demandez lui quelle intention il va mettre pour réviser un contrôle et proposez lui de l’écrire sur un post-it.  

Vous serez étonné de constater comment un changement de vocabulaire peut entrainer un véritable changement d’attitude.

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